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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 16:32


Alain René Arbez, prêtre catholique
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Vendredi 4 juin 2010 – 22 Sivan 5770
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http://www.upjf.org/images_body/body8286IFomcswJfWMAZzZ.jpgDans les bateaux « pacifistes » en route pour Gaza, un chant était hurlé à tue tête par les « humanitaires » turcs et arabes : ils criaient : « Kaybar, Kaybar ! Ya yahud, jaish Muhammad sa ya ‘ud ! Kaybar ! Souvenez-vous de Kaybar, ô Juifs, l’armée de Mohamed revient ». En ne le rapportant pas, les médias occidentaux sont complètement passés à côté d’un message pourtant très lourd de signification pour comprendre l’opération en cours. Qu’évoque l’épisode de Kaybar ? A l’époque du Prophète, l’oasis de Kaybar en Arabie était fertile et peuplée de juifs qui avaient mis en place un ingénieux système d’irrigation. En 628, Mahomet conquit militairement l’oasis et autorisa les Juifs à continuer d’y travailler en exigeant le 50% de la production des potagers et palmiers-dattiers. Peu après, les chrétiens de Najran subirent le même sort. Mais en 640, le calife Omar abolit le droit des Juifs à rester sur leur terre et il confisqua tous leurs biens. Ils furent expulsés en vertu de la parole discriminatoire de Mahomet juste avant sa mort : « Deux religions ne doivent pas demeurer côte à côte sur la péninsule des Arabes ! ».
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De ce fait, l’épisode de Kaybar constitue une référence majeure pour les juristes musulmans. C’est ce qui fait jurisprudence dans la loi islamique pour gérer le sort des dhimmi, non-musulmans c'est-à-dire sujets de condition inférieure sous la domination de l’islam. « L‘islam domine mais n’est pas dominé ! ». Cette spoliation et cette expulsion de Kaybar est donc le prototype des prétentions islamiques et la légitimation religieuse de leur comportement envers les non musulmans. C’est ce qui a conditionné le destin tragique de plusieurs millions de non musulmans après les conquêtes, en particulier parmi les populations chrétiennes autrefois considérables au Proche Orient et aujourd’hui réduites à quelques misérables pour-cent. Le chant « Kaybar ! Kaybar » n’était donc pas une joyeuse comptine pour « la croisière s’amuse » de ces « humanitaires » bravant les forces israéliennes, mais bien un véritable cri de guerre annonçant l’affrontement prémédité et violent dont nous avons vu quelques séquences sur les vidéos.
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Le souvenir de Kaybar reste en effet bien vivace dans une multitude d’esprits fanatisés et ivres de djihad, et nous aurions intérêt à ne pas trop le minimiser pour évaluer le sort des juifs et des chrétiens dans les pays islamiques ainsi que dans les nombreuses contrées du Dar al Harb convoitées par les activistes et les combattants d’Allah.

 


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4 juin 2010 5 04 /06 /juin /2010 13:49

Par FRANCE-ISRAËL- Alliance Général Kœnig

Communiqué de Presse

Paris, le 1er juin 2010

 

http://www.desinfos.com/IMG/logos/flagwave.gifPendant dix jours, de manière persévérante, les autorités israéliennes ont demandé aux ONG, responsables de l'expédition de l'armada (organisation islamiste-antisémite, selon le correspondant du Monde), que l'aide alimentaire transite soit par un port égyptien, soit par un port israélien, soit par l'intermédiaire de l'ONU ou de l'UNRWA soit de toute manière respectant les impératifs de la sécurité nationale israélienne.

 

Les responsables des ONG ont déclaré, sans ambigüité, que leur but n'était pas seulement l'acheminement d'aide humanitaire, mais de briser le blocus de Gaza même par la force.

Cette aide humanitaire se composait de 10 000 tonnes de produits alors que 15 000 tonnes sont acheminées chaque semaine par voies terrestres autorisées.

 

Il résulte clairement de ces deux faits non contestés que l'armada constituait une provocation destinée à générer une nouvelle situation internationale de diabolisation d'Israël, de stimulation de la haine en faveur de l'image du Hamas.

L'affrontement violent était parfaitement évitable. L'aide alimentaire aurait été acheminée bien plus rapidement.

 

Il convient de rappeler que la légitimité du blocus égypto-israélien de Gaza, territoire géré par le Hamas, organisation fondamentaliste islamiste anti-israélienne, antisémite et anti-chrétienne, est reconnue par les États-Unis, l'Europe dont la France et le monde démocratique. C'est de ce territoire qu'ont été tirés 10 000 roquettes et que les tirs continuent à ce jour.

 

Conformément au droit international public, chaque État souverain est en droit de protéger la vie de ses citoyens et d'entreprendre des mesures pour défendre sa population en empêchant la pénétration de ses eaux territoriales par des forces hostiles ou non contrôlées, par une intervention au-delà de cette zone maritime protégée.

 

Nous constatons, une fois de plus, qu'il y a deux poids - deux mesures, lorsqu'il s'agit de juger l'attitude de l'État d'Israël. France-Israël souhaite que la rationalité l'emporte sur l'émotion dans l'évaluation des responsabilités.

  
Cliquez sur

http://www.flix.co.il/tapuz/showVideo.asp?m=3423928


Derrière les sacs de farine étaient planquées des armes lourdes et les munitions :

mortiers, obus, bazoukas, sans compter un coffre où on a trouvé un million d'euros. C'est la raison qui der l'araisonnement des navires en direction de Gaza.


Israël a le devoir de se défendre.

 

Merci à Albert Soued et Suggest 1 

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3 juin 2010 4 03 /06 /juin /2010 12:57

Par David Ruzié,

professeur émérite des universités, spécialiste de droit international

auteur de "Droit international public (broché)"

http://www.desinfos.com/IMG/logos/flagwave.gif


2 juin 2010

 

Il nous paraît opportun de rappeler que le nombre ne fait pas nécessairement loi. Même s’il est vrai qu’à notre connaissance, mis à part une déclaration d’un secrétaire d’Etat italien aux affaires étrangères, à un moment donné, aucun Etat n’a admis sinon la légalité formelle, du moins la légitimité (c’est à dire la conformité avec une valeur fondamentale) de l’opération menée par Israël contre la « flottille pseudo-humanitaire ».

 

Le fait qu’une fois encore la presse israélienne, voire certains universitaires israéliens sont au premier rang des critiques, n’enlève rien à l’iniquité du procès fait à Israël, en pareille circonstance.

Nous serions presque tenté, sans être hébraïsant, de dire qu’en l’occurrence s’imposait l’expression fréquemment utilisée dans les conversations entre Israéliens, de « ein brera » (pas d’alternative).

Même Le Monde, peu suspect de sympathie à l’égard d’Israël, dans l’éditorial du numéro daté du 2 juin, admet que « Israël avait sans doute ses raisons….. » (souligné par nous).

 

Quelles que soient les rodomontades des Etats, Israël nous paraît, en effet, être fondé (sur la base de la légitimité de son existence) à empêcher l'approvisionnement du Hamas, organisation terroriste, qui gouverne Gaza et qui refuse, délibérément, de reconnaître Israël, en ne se résignant qu'à une trêve (houdna) de 10 ans. Le Hamas retient, dans des conditions contraires au droit humanitaire depuis près de 4 ans un soldat israélien, enlevé en territoire israélien, et tolère, sinon encourage (il l'a d'ailleurs fait expressément dans le passé, d'où l'opération israélienne durant l'hiver 2008-2009) l'envoi de roquettes sur le territoire israélien.

 

Il y a quelques semaines, un conseiller juridique du Hamas affirmait que «  la loi internationale permet aux Palestiniens d'utiliser tous les moyens, quels qu'ils soient, dans leur combat pour la libération de la Palestine ».

Le Hamas est donc "en guerre" avec Israël et ce pays a le droit de se défendre.

 

Certes, cette fois, la "flottille" n'avait, apparemment, pas de contrebande de guerre à son bord, mais si Israël l'avait laissé passer, la fois suivante, tout eut été possible.

La flottille avait été avertie et donc son obstination était une provocation.

 

Israël avait d'ailleurs proposé de faire acheminer, par vois terrestre (après déroutement sur Ashdod) l'approvisionnement humanitaire.

Il est avéré que les troupes israéliennes ont été attaquées (couteaux, barres de fer, l'origine des tirs par les passagers n'a pas été, à notre connaissance, encore clairement déterminée: s'agissait-il d'armes prises à des soldats israéliens ou de pistolets possédés par des passagers ?).

En tout cas, on ne peut pas parler de "massacre", ni de disproportion, car compte tenu de leur puissance de feu, les troupes israéliennes auraient effectivement pu provoquer davantage de pertes. Or, il n'y a eu "que" 9 morts (sur près de 700 passagers....).

Il ne suffit pas de répéter à l’envi que le blocus israélien de la Bande Gaza, y compris par voie maritime, est illégal pour qu’il le soit réellement.

 

Indépendamment du fait que l’Egypte a, également établi un blocus (terrestre) depuis la « prise en mains » de ce territoire par le Hamas, depuis 3 ans, Israël peut se prévaloir du droit de légitime défense contre un mouvement qui lui refuse le droit à l’existence et le fait qu’il ait été « plébiscité » par la majorité de la population de la Bande de Gaza, n’enlève rien à l’illégalité de son attitude à l’égard d’un Etat, membre de l’ONU.

 

Ce droit autorise, également, Israël à agir sur mer.

Certes, on a beaucoup entendu, de tous côtés, mettre en avant le fait qu’Israël est intervenu dans les eaux internationales pour évoquer un acte de piraterie (que n’a-t-on entendu, d’ailleurs, voire le ministre turc des affaires étrangères, comparer l’action des commandos israéliens à la monstruosité des événements 11 septembre 2001….).

 

Mais, indépendamment des lacunes du droit international quant au rôle que jouent, actuellement, dans les crises internationales, des « acteurs non-étatiques », rien, dans le droit des conflits armés, n’interdit la façon dont Israël a mis en œuvre le « blocus maritime » de la Bande de Gaza.

Israël n’a nullement violé la liberté de navigation dans les eaux internationales en arraisonnant la « flottille pseudo-humanitaire », même à distance des « eaux territoriales » (on peut même se demander si cette notion est d’ailleurs applicable à la bande de Gaza, compte tenu de son statut indéterminé en droit international).

 

En effet, cette flottille n’avait pas caché son intention de « forcer le blocus » établi par Israël et dont cet Etat avait, expressément, notifié l’existence, d’ailleurs respectée par toutes les compagnies maritimes.

Et Charles Rousseau un grand juriste français du XXème siècle a écrit dans « Le droit des conflits armés » (éd. Pedone 1983) : « la sanction immédiate  de la rupture du blocus est la capture du navire. Celle-ci peut intervenir avant que le navire contrevenant ait franchi la ligne de blocus (droit de prévention)… » (n°169 p. 271).

 

Israël avait donc le droit de choisir le moment le plus opportun pour procéder, à défaut de voir les commandants des navires obtempérer à l’interdiction formulée de poursuivre leur navigation, à l’arraisonnement des bateaux, avant même qu’ils ne pénètrent dans les « eaux territoriales » de la bande de Gaza.

 

L’expérience montre que ce type d’opération est plus difficile à réaliser près des côtes, du fait de l‘intense navigation côtière qui s’y exerce.

Le fait que le Premier ministre irlandais Brian Cowen aurait déclaré qu'il était ''interdit d'arrêter le navire irlandais qui est parti du port de Malte à destination de Gaza'' ne change rien au problème, dès lors que Brian Cowen a manqué une occasion de se taire, lorsqu’il a justifié cette position par le fait que « le bateau était une possession irlandaise », alors qu’il est unanimement admis qu’un navire n’est pas une portion de territoire flottant….(au passage, nous nous permettrons de rappeler que durant la seconde guerre mondiale l’Irlande a prétendu être « neutre », alors qu’en réalité, ce pays a été plutôt proche de l’Allemagne hitlérienne et ne s’est pas montré particulièrement ouvert aux réfugiés juifs fuyant les persécutions).

Dans ces conditions, on ne voit pas ce qu’apporterait une enquête aussi impartiale soit elle.


La « flottille » a tenté de forcer un blocus, régulier au regard du droit international et la réaction des commandos israéliens, attaqués alors qu’ils procédaient à l’arraisonnement, non moins régulier des navires, dont les commandants avaient refusé d’obtempérer aux ordres reçus, a été proportionnée, comme en témoigne le chiffre limité des pertes en vies humaines, par rapport au nombre de personnes, qui, volontairement, entendaient provoquer Israël.

 

Sujet proposé par : Albert Soued et Suggest 1

 

Sources : Camus

Et aussi sur: des infos.com 

Je vous invite a visionner la vidéo suivante qui nous montre les réels intentions de ces "pacifiques citoyens"

Merci à phillipe qui me l'a envoyé.

 


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2 juin 2010 3 02 /06 /juin /2010 15:50

 

 

http://img.over-blog.com/164x153/2/38/73/59/Therese.jpgIsraël, l'éternel Coupable  

Par

Thérèse ZRIHEN-DVIR

écrivain

    Le monde entier est sens dessus dessous depuis l'abordage de la flottille, prétendue humanitaire, pour Gaza par les commandos de la marine Israélienne. Devant les neuf morts et quelques blessés des deux côtés, l'Europe s'enflamme, les USA plissent le front, et le monde arabe et ses adulateurs s'insurgent, brûlent les drapeaux, convoquent les ambassadeurs pour consultation et certains même coupent les relations diplomatiques avec Israël. Un véritable désastre.

  

Cette flottille est apparemment d'une importante si vitale pour le monde entier, puisqu'elle réussit à entraîner dans son sillage la mise en cause des règles de sécurité de tous les pays du monde… C'est effarant ce qu'une poignée de pro-palestiniens réussissent à provoquer sur tous les continents.

 

Il est cependant bien étrange et choquant que des crimes contre l'humanité se perpétuent chaque jour et chaque minute sur plusieurs continents (Darfour, Sri Lanka, Rwanda, Jamaïque,  Thaïlande...), comptant des milliers, voire des millions d'êtres froidement assassinés, et que personne ne le sache, ne cherche à le savoir ni à s'en inquiéter. L'ONU est impassible, aucune enquête n'est suggérée et encore moins mise en œuvre… et ainsi le monde continue sa petite mécanique routinière qui n'est autre que celle de placer en permanence Israël sous une loupe démesurément grossissante et menacer ou mettre en cause son existence.

 

BRAVO AU MONDE LIBRE, JE VOUS SALUE LES HYPOCRITES, JE VOUS TIRE MON CHAPEAU.

 

ASSEZ! Nous avons vu ce que pèse votre justice, votre sens de l'humanité, votre équité, votre droiture et surtout votre conscience.

 

Une flottille infiltrée  par une centaine de terroristes, de proches d'Al Qaida, d'antisémites et d'antisionistes s'approche dangereusement de l'espace maritime israélien et le monde souhaite ardemment que les israéliens se plient et s'offrent en martyre????

 

Imaginez cette même flottille face à n'importe quel autre pays du monde! Elle aurait simplement essuyé une salve de sommation et ensuite, si elle ne s'y conformait pas,  une volée de torpilles qui l'aurait coulée en légitime défense. Or la légitimité pour Israël n'existe pas, n'a jamais existé et existe encore moins depuis l'avènement à la présidence d'Obama. A la fois, on reconnaît (ou pas) cet Etat du bout des lèvres, et de l'autre, on cherche à le placer en permanence sous tutelle internationale. 

 

Israël devrait cesser de trembler, de plier, de se sentir coupable, pour les bonnes raisons qu'il ne l'est pas. Seul l'armateur, les supplétifs en armes et le navigateur principal du Marvi Marmara le sont. C'est sans doute "choquant" pour les bonnes âmes, mais l'entité "Hamas" n'est reconnue par aucune instance internationale et en aucun cas un "gouvernement légitime". 

 

Israël devrait refuser toute enquête et commission d'enquête qui ne soit pas de son seul ressort en tout incident et se concentrer surtout sur sa sécurité et celle de ses citoyens.

 

Nous avons déjà vu combien ces commissions sont intègres et non biaisées, avec le cas de celui qui envoya sans remords 28 Noirs sud-africains à la potence, Richard Goldstone et a soutenu de tout son poids le Régime inique l'Apartheid. Nous avons eu de la peine à constater la déréliction totale de la droiture et de la justice, remplacée par une magnanimité intolérable envers la perversion, la corruption et le mal, dont celui appelé terrorisme. Nous avons surtout assisté à la peur viscérale engendrée par l'Islam radical qui gangrène l'Occident et se retournera demain contre lui. Si ce n'est déjà fait.

 

Il est temps de s'avouer que le monde prétendu libre a lamentablement échoué dans sa mission de conserver l'équilibre intègre de la justice internationale, que l'ONU est devenu le repaire du radicalisme islamique et qu'enfin les USA suivent malencontreusement la meute domptée et apeurée de l'Occident.

 

 

Thérèse Zrihen-Dvir

http://therese-zrihen-dvir.over-blog.com/

 

http://www.ynet.co.il/PicServer2/24012010/2585422/XUN105_wm.jpg

 

papillon-copie-1

 

Israël a le devoir de se défendre, aucune autre solution n'est admissible !

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 08:59

Article reçu ce matin par mail et dire que l'on roupeste sur les retraités français, disant qu'ils vivent trop longtemps. Qu'ils gaspillent moins que les actifs....

Dommage que je ne fais pas partie de l'Europe et ai dépassé les 50ans et oui chacun sa chance !

UN SCANDALE ! ! !

A SAVOIR AVANT LA « TONTE » DE 2010

Vous avez remarqué que nos politiques se battent comme des fous pour rentrer dans l'administration européenne
Et pourquoi ?
A LIRE CI-DESSOUS
En guise de réflexion !

Scandaleux, tout simplement.

Envoyez ceci aux Européens que vous connaissez !!!

La retraite à 50 ans avec  9.000 euros par mois pour les fonctionnaires de l'UE a été approuvée !!!!

Cette année, 340 fonctionnaires partent à la retraite anticipée à 50 ans avec une pension de 9.000 Euros par mois.

Oui, vous avez bien lu !!! 

Afin d'aider l'intégration de nouveaux fonctionnaires des nouveaux états membres de l'UE (Pologne, Malte, pays de l'Est...), les fonctionnaires des anciens pays membres (Belgique, France, Allemagne..) recevront de l'Europe un pont d'or pour partir à la retraite.

POURQUOI ET QUI PAIE CELA ?

 Vous et moi travaillons ou avons travaillé pour une pension de misère, alors que ceux qui votent les lois se font des cadeaux dorés.

 La différence est devenue trop importante entre le peuple et les "dieux de l'Olympe" !!!

REAGISSONS par tous les moyens en commençant par divulguer ce message à tous les Européens.

Bonne journée à tous quand même.

C'EST UNE VRAIE MAFIA CES HAUTS FONCTIONNAIRES DE l'UNION EUROPEENNE....
A DIFFUSER LARGEMENT S.V.P



Les technocrates européens jouissent de véritables retraites de nababs...
 Même les parlementaires qui, pourtant, bénéficient de la "Rolls" des régimes spéciaux, ne reçoivent pas le tiers de ce qu'ils touchent... C'est dire ! Giovanni Buttarelli, qui occupe le poste de "contrôleur adjoint de la protection des données", aura acquis après seulement 1 an et 11 mois de service (en novembre 2010), une retraite de 1 515 € / mois. L'équivalent de ce que touche, en moyenne, un salarié français du secteur privé après une carrière complète (40 ans).

 Son collègue, Peter Hustinx, vient de voir son contrat de cinq ans renouvelé. Après 10 années, lui aura droit à près de 9 000 € de retraite / mois.
C'est simple, plus personne ne leur demande des comptes et ils ont bien décidé d'en profiter. C'est comme si, pour leur retraite, on leur avait fait un chèque en blanc.
En plus, beaucoup d'autres technocrates profitent d'un tel privilège :
1. Roger Grass, greffier à la Cour de justice européenne, va toucher 12 500 € de retraite par mois.
 2. Pernilla Lindh, juge au Tribunal de première instance, 12 900 € /  mois.
3. Damaso Ruiz-Jarabo Colomer, avocat général, 14 000 € / mois. 
 Consultez la liste :
 
http://www.kdo-mailing.com/redirect.asp?numlien=1276&numnews=1356&numabonne=62286
 
 Pour eux, c'est le jackpot. En poste depuis le milieu des années 1990, ils sont assurés de valider une carrière complète et, donc, d'obtenir le maximum : 70 % du dernier salaire. Car, c'est à peine croyable... Non seulement leurs pensions crèvent les plafonds mais il leur suffit de 15 années et demie pour valider une carrière complète alors que pour vous, comme pour moi, il faut se tuer à la tâche pendant 40 ans et, bientôt, 41 ans.
 Face à la faillite de nos systèmes de retraite, les technocrates de Bruxelles recommandent l'allongement des carrières : 37,5 ans, 40 ans, 41 ans (en 2012), 42 ans (en 2020), etc. Mais, pour eux, pas de problème, le taux plein c'est 15,5 ans... De qui se moque-t-on ?
 A l'origine, ces retraites de nababs étaient réservées aux membres de la Commission européenne puis, au fil des années, elles ont également été accordées à d'autres fonctionnaires. Maintenant, ils sont toute une armée à en profiter : juges, magistrats, greffiers, contrôleurs, médiateur, etc.


Mais le pire, dans cette affaire, c'est qu'ils ne cotisent même pas pour leur super retraite. Pas un centime d'euro, tout est à la charge du contribuable...
Nous, nous cotisons plein pot toute notre vie et, au moindre retard de paiement, c'est la déferlante : rappels, amendes, pénalités de retard, etc.
 Aucune pitié. Eux, ils (se) sont carrément exonérés. On croit rêver !

 Rendez-vous compte, même les magistrats de la Cour des comptes européenne qui, pourtant, sont censés "/contrôler si les dépenses de l'Union européenne sont légales, faites au moindre coût et pour l'objectif auxquelles elles sont destinées.../ ", profitent du système et ne paient pas de cotisations.
 Et, que dire de tous ces technocrates qui ne manquent pas une occasion de jouer les "gendarmes de Bruxelles" et ne cessent de donner des leçons d'orthodoxie budgétaire alors qu'ils ont les deux mains, jusqu'aux coudes, dans le pot de confiture ?

A l'heure où l'avenir de nos retraites est gravement compromis par la violence de la crise économique et la brutalité du choc démographique, les fonctionnaires européens bénéficient, à nos frais, de pensions de 12 500 à 14 000 € / mois, après seulement 15 ans de carrière et sans même cotiser... C'est une pure provocation !
 Mon objectif est d'alerter tous les citoyens des états membres de l'Union Européenne. Ensemble nous pouvons créer un véritable raz de marée.
 
 Il est hors de question que les technocrates européens continuent à jouir, à nos frais et en toute impunité, de telles retraites. Nous allons leur remettre les pieds sur terre.

 Sauvegarde Retraites a réalisé une étude précise et très documentée qui prouve par "A+B" l'ampleur du scandale. Elle a déjà été reprise par les médias.

 
http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2009-05-19/revelations-les-retraites-en-or-des-hauts-fonctionnaires-europeens/916/0/344867

Diffusons, diffusons massivement auprès de tous les relais de vingt-sept pays de l'Union Européenne, il en restera bien quelque chose !!! 

 

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16 mai 2010 7 16 /05 /mai /2010 10:19
 http://www.lalsace.fr/fr/images/logo_alsace.gif

 

Un Strasbourgeois d’une quarantaine d’années a été victime d’une violente agression à caractère antisémite en plein jour au cœur de la ville. La victime, qui portait une kippa, a été prise à partie, place de l’Homme de Fer, par deux inconnus qui l’ont fait tomber à terre avant de la rouer de coups de pieds et à l’aide d’une barre de fer, tout en lui portant des coups de couteau. Le tout devant de nombreux témoins qui ont aussitôt alerté les secours et averti la police.

Pendant que la victime était hospitalisé dans un état qualifié de grave, la police se lançait aux trousses des agresseurs. Un premier a été retrouvé à quelques centaines de mètres, rue de la Nuée Bleue. Le second a été interpellé à son domicile du centre ville.


Tous deux ont été placés en garde à vue à l’hôtel de police. Ils seraient tous deux âgés de 39 ans et de confession musulmane. L’un des deux serait qualifié de déséquilibré mental.


D´après la LICRA et le grand rabbin, le motif de l´agression pourrait être à chercher dans le passé de l´un des agresseurs présumés. Celui-ci aurait été par le passé hospitalisé en milieu psychiatrique sur décision d´un médecin juif, ce qui l´aurait amené à «nourrir une haine contre les juifs», selon Maud Nisand, avocate strasbourgeoise de la LICRA. Selon un témoignage recueilli par cette association, il aurait déclaré aux enquêteurs: «c´est à cause de psys juifs que j´ai été à l´hôpital».


La victime, âgée de 41 ans, a été hospitalisée. Elle a d´abord été blessée superficiellement à l´arme blanche au niveau de l´épaule ou de la nuque. Puis elle est tombée à terre, où elle a été frappée avec une barre de fer, selon Me Nisand.


La police refuse catégoriquement de communiquer sur cette affaire.

Le sénateur-maire socialiste de Strasbourg Roland Ries a condamné dans un communiqué un «acte d´une rare violence», indiquant que «les premiers éléments de l´enquête font état d´une agression à caractère antisémite, commise par un déséquilibré».

De son côté le président (UMP) de la Région Alsace, Philippe Richert, s´est dit «révolté» par des violences dont «le caractère antisémite ne semble faire aucun doute».


Source: Lalsace.fr

 

 

 

 
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7 mai 2010 5 07 /05 /mai /2010 12:00


Lire les articles sur la forfaiture GOLDSTONE 

       logo goldstone

 

(Retour sur la vidéo traduite par Danilette pour lessakele et  aschkel.info )   

 


Source :  Ashkel.info


 

 

 

 

Une enquête du Yediot Aharonot révèle que Richard Goldstone, le pourfendeur d’Israël, l’accusant de « crimes de guerre », a envoyé à la potence 28 prévenus noirs durant l’Apartheid.

 

 Adaptation Gad :  lessakele et aschkel.info 


Par Tehiya Barak, Tzadok Yehezkeli

Published: 

05.06.10, 17:12 / Israel News

 

En condamnant Israël pour “crimes de guerres », l'infatigable militant des Droits de l'Homme, le Juge Goldstone a juste oublié une chose : de se regarder bien en face dans un miroir, et de procéder à un petit examen de conscience, avant de critiquer autrui.

 

C’est une enquête spéciale du Yediot qui a révélé la part d’ombre de Richard Goldstone durant l’Apartheid. Elle dévoile qu’il a pris une part active dans la politique raciste de l'un des régimes les plus cruels de toute l'histoire du  XXè siècle.

 

En tant que Juge à la Cour “d’appel” entre 1980 et 1990 (il y a moins de 20 ans), il a condamné sans merci des dizaines de Noirs à une mort certaine.

 

La position de Goldstone en tant que Juge d'appel le préservait, justement, de devoir opter pour la peine de mort, en bien des occasions, dans le cadre d’un régime sous la critique véhémente de nombreux pays. Goldstone n’a jamais dénié confesser ou regretter ses actes, dans aucune de ses prises de parole publique.

 

 Les découvertes du Yediot démontrent que Goldstone a condamné à mort au moins 28 prévenus noirs. La plupart d’entre eux étaient jugés pour meurtre et faisaient appel de leur verdict. A cette époque, il a fait la démonstration de son soutien zélé à cette politique d’exécutions systématiques. Il écrit dans l’un des verdicts que la mort soit le prix à acquitter ne reflète que les attentes de la société contre des crimes qu’elle perçoit comme une menace.


 On doit faire remarquer que les blancs, jouissant d’un statut social supérieur sous l’Apartheid, étaient les seuls qui appelaient à ce que les crimes violents soient punis par une telle sentence. La majorité noire s’opposait fortement à la peine de mort.

 

La Constitution sud-africaine n’a été amendée et la peine de mort abolie qu’en 1995, lors de la prise de pouvoir par Nelson Mandela. Des centaines de gens attendant leur exécution furent alors libérés, dont plusieurs que Goldstone avait envoyé dans le couloir de la mort.

 

Même lorsqu’il s’agit de condamnations apparemment moins graves, Goldstone a toujours agi en zélé serviteur de l’Apartheid. Parmi différentes affaires, il a approuvé la condamnation au fouet de 4 jeunes Noirs suspectés de violence, alors qu’il a acquitté 4 policiers blancs qui avaient fracturé la porte de la maison d’une femme blanche, sur la simple présomption qu’elle aurait entretenu des relations sexuelles avec un Noir, ce qui était considéré comme un crime grave en Afrique du Sud, à cette époque.

 

Il a ainsi procédé à des condamnations purement politiques, comme la condamnation de deux jeunes Noirs pour détention d’une vidéo portant sur le discours donné par l’un des responsables officiels du parti de Nelson Mandela.

 

Pour seule réponse aux extraits des procédures qui lui ont été présentées et rappelées, Goldstone prétend qu’il a toujours été “opposé à la peine de mort”, mais que, parce qu’il agissait dans le cadre d’un système légal qui reconnaissait cette sentence, il avait les mains liées. Il prétend qu’il était dans l’obligation d’honorer les lois du pays, même sous les lois de l’Apartheid, et qu’il n’était pas parvenu à trouver des preuves suffisantes pour disculper les accusés et leur éviter l’exécution.

 

Goldstone proclame à qui veut l’entendre qu’il n’a jamais fait de discrimination contre les prévenus noirs et qu’il agissait au mieux de ses possibilités, bien qu’il soit, parfois, moralement opposé à ces lois qu’il faisait exécuter. Il remarque qu’il était autant engagé à maintenir l’équité qu’à appliquer la loi, deux principes qui se trouvaient fréquemment en totale contradiction.

 

Lieberman : le monde doit connaître cette tâche indélébile

 

 

Les politiciens israéliens et le Ministère des Affaires étrangères ont bien accueilli cette enquête révélant le passé obscur de Goldstone en tant que Juge d’une grande cruauté, sous le régime de l’Apartheid en Afrique du Sud

 

 

Un responsable du Ministère a fait référence à cette investigation comme relevant d’un “matériel explosif pour la politique étrangère”. Le Ministre des affaires étrangères, Avigdor Lieberman projette d’ordonner à son Bureau d’envoyer l’article à tous les représentants d’Israël dans le monde, pour qu’il soit repris comme pièce à conviction dans le cadre de leurs activités de politique étrangère.

 

Aussi bien les rangs de la gauche que de la droite, à la Knesset, ont blâmé Goldstone pour son « passé problématique ».

 

 

“Le Juge qui a condamné à mort des Noirs et a soutenu ce qu’il définissait comme “le prix du crime” est un homme pratiquant la politique du deux poids-deux mesures”, a affirmé le porte-parole de la Knesset Reuven Rivlin, du Likoud, lors d’une rencontre officielle avec son homologue chypriote, en visite en Israël.

 

Rivlin a ajouté : “On ne devrait pas permettre à un tel individu d'instruire un dossier contre un pays démocratique se défendant contre des terroristes, qui ne sont pas sujets aux critères ni aux normes de la morale internationale ».

 

 

 

Le Député Yoel Hasson (Kadima), président du Comité de contrôle de la Knesset, a dit que l’enquête a révélé que Goldstone était un hypocrite, non seulement face à la réalité, mais surtout face à lui-même.

 

Selon Hasson, “ Alors même qu’il était impliqué dans une activité clairement raciste, il n’a eu aucun problème à devoir écrire un tel rapport. Il est bien dommage que le Ministère des Affaires étrangères ne l’ait pas su avant. S’il en avait été ainsi, cela nous aurait bien aidé dans notre lutte contre les iniquités de ce rapport ».

 

(Itamar Eichner et Tzvika Brot ont contribué à cet article)

Lire aussi Juge Richard Goldstone, accusé, levez-vous! 2/2

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6 mai 2010 4 06 /05 /mai /2010 16:21

 

Belgique : le parlement tiendra-t-il face à la burqa ?

http://www.fjn-123.fr/local/cache-vignettes/L160xH131/arton401-7b371.jpgLa crise politique belge qui a conduit à la chute du gouvernement n’a pas empêché le parlement belge à voter la loi interdisant le port dans des lieux publics de « tout vêtement cachant totalement ou de manière principale le visage » communément appelé ‘’burqa ou Niqab’’.

La nuance est justement sur le fait que la Belgique n’interdit pas directement le voile islamique, mais tout vêtement qui pourrait cacher le visage et donc empêché l’identification d’une personne, et ce, hors période de carnaval… !

La Belgique est donc en passe de devenir le premier pays européen à se positionner contre ce symbole de l’Islam intégriste de plus en plus visible dans nos villes.

Ce petit pays d’environ dix millions d’habitants n’est pas à sa première tentative de mettre le doigt dans le dossier sensible, mais jusqu’où ira-t-il et pour combien de temps ?

Bien que l’interdiction soit votée par le parlement, il reste néanmoins des interrogations quant aux plus que probables amendements pouvant être apportés et aussi et surtout quant à l’application de cette loi, qui rappelons le, n’est pas encore entrée en vigueur.

Si la police de Nantes (France) a verbalisé une conductrice en niqab pour des raisons de sécurité routière, les réactions des inspecteurs de la police belge passeront à la loupe, du moins, pour certains quartiers des communes bruxelloises, telles que Molenbeek-Saint-Jean, Saint-Gilles et Saint-Josse.

Ces quartiers parfois aux allures de No-mans land, disons-le, où la police se fait souvent très discrète pour éviter de provoquer les riverains, étant donné qu’un simple contrôle de routine peut se transformer en émeutes (véritable rixe) !

Dans ces conditions, verbaliser une femme voilée d’une burqa ou d’un niqab relèverait d’une mission extraordinaire à confier à la police et exposerait celle-ci à un surplus d’actes d’agressions, déjà multiples, à son égard.

Une fois la loi entrée en vigueur, il reste à espérer que le gouvernement prenne les mesures nécessaires d’encadrement et veille aux conséquences de celle-ci.

Il est malheureusement fréquent de constater que les juifs sont pointés du doigt, désignés comme responsables des malheurs du monde et abandonnés à leur propre sort même pour des conflits tiers, laissant ainsi le champ libre aux intégristes musulmans d’exprimer leur mécontentement aux décisions du gouvernement.

Mécontentements qui passent et se justifient souvent par un prétexte qui paie toujours : l’importation du conflit au Moyen-Orient et trouver ensuite un bouc émissaire, le juif, pour justifier les actes de violences, la haine, le négationnisme et l’antisémitisme. 

Rappelons néanmoins qu’il s’agit ici d’une loi belge votée par le parlement belge pour la Belgique ET NON d’une loi votée à la Knesset Israélienne pour la Belgique !

Une synagogue a été attaquée en représailles aux perquisitions menées par la police de Saint-Gilles (Bruxelles) au domicile du malfrat abattu le mois dernier, actes sans rapport avec le sujet.

Quelles seront les prochaines conséquences pour notre communauté, des effets néfastes relatifs à cette loi ?

Abel Limanya-Limbu

FJN - Belgique

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4 mai 2010 2 04 /05 /mai /2010 21:14


Thème : Proche-Orient


Date de publication : le 19 avril 2010



Traduction : Objectif-info


http://www.seoblackout.com/images/Barack-Obama-Capitol.jpgEn réponse au traitement grotesque que vient de réserver l'administration Obama à Israël , un groupe d'environ 50 généraux et amiraux américains retraités a élaboré de conserve la lettre suivante. Cette lettre invite aussi bien le président que le Congrès et le public américain à mesurer à quel point les succès d’Israël et de l’Amérique sont intimement liés.

Voici la lettre non publiée à ce jour, obtenue directement auprès d’officiers signataires :


Israël est un capital de sécurité pour les États-Unis


Nous, soussignés, avons voyagé en Israël ces dernières années avec l'Institut juif pour les Affaires de Sécurité nationale (JINSA). Nous représentions des décennies d'expérience militaire. Ayant eu accès sans restrictions aux dirigeants civils et militaires d'Israël, sommes parvenus à la conviction inébranlable que la sécurité de l'état d'Israël est une question de grande importance pour les États-Unis et pour leur politique au Moyen-Orient et en Méditerranée orientale. Un Israël fort et en sécurité est un capital sur lequel les stratèges militaires américains et les dirigeants politiques peuvent compter. Israël est une démocratie, un produit rare et précieux dans la Région, et Israël partage notre engagement pour la liberté en général, les libertés individuelles et la primauté du droit.


Au cours de nos voyages et de nos entretiens, la détermination des Israéliens pour protéger leur pays et parvenir à une paix juste et réaliste avec leurs voisins a été clairement exprimée. Ainsi nous prenons acte des tensions actuelles entre les États-Unis et Israël avec consternation et nous éprouvons une profonde inquiétude en voyant certaine divergences politiques primer sur nos intérêts mutuels de première importance.


En tant que professionnels américains de la défense, nous analysons les événements du Moyen-Orient au prisme des intérêts de sécurité américains.


Au cours de la guerre froide, les États-Unis et Israël se sont engagés dans un processus de coopération en matière de sécurité ; aujourd'hui les deux pays font face à la menace identique d’un terrorisme alimenté par des gens qui redoutent tout ce qui relève de la liberté. La collaboration historiquement étroite des États-Unis avec Israël à tous les niveaux des forces armées israéliennes, la recherche-développement militaire, les renseignements partagés et les exercices militaires d’entrainement conjoints, a renforcé la sécurité des deux pays. La police et les responsables américains des affaires juridiques ont tiré avantage de leur collaboration étroite avec les professionnels israéliens dans le domaine du contre-terrorisme intérieur, et lors des premières réponses aux attentats terroristes.


Israël et les États-Unis sont unis par des valeurs partagées et des menaces partagées contre notre mode de vie.


La prolifération des technologies nucléaires et des armes correspondantes au Moyen-Orient et en Asie, et la maîtrise de la technologie des missiles balistiques désormais implantés dans des aires géographiques étendues, nécessitent des coopérations en matière de renseignement, et de politique technologique et de sécurité. Le terrorisme, qu’il s’agisse de l’origine de son financement, de l’entrainement ou de l’exécution des opérations terroristes, doit recevoir une réponse multilatérale quand c’est possible. La diffusion de la haine et le soutien au terrorisme d’extrémistes violents au nom de l'Islam, qu’ils proviennent acteurs étatiques ou non-étatiques, doivent être traités comme des menaces contre la paix mondiale.


Au Moyen-Orient, dans une région instable si essentielle pour les intérêts des États-Unis, il serait pusillanime de s’écarter ou de dénigrer un allié de la trempe d’Israël.


Ainsi, la prochaine fois que quelqu’un prétendra stupidement qu’Israël mérite parfois un peu « d’amour vache » pour « retrouver le droit chemin », ou qu’il faut traiter l’état juif comme un gosse turbulent qui doit aller au piquet et que c’est bon pour tout le monde, qu’il aille donc le dire à ces 50 généraux et amiraux à la retraite.


Signataires au 12 avril 2010 :


Lieutenant General Mark Anderson, USAF (ret.) 
Rear Admiral Charles Beers, USN (ret.) 
General William Begert, USAF (ret.) 
Rear Admiral Stanley W. Bryant, USN (ret.) 
Lieutenant General Anthony Burshnick, USAF (ret.) 
Lieutenant General Paul Cerjan, USA (ret.) 
Admiral Leon Edney, USN (ret.) 
Brigadier General William F. Engel, USA (ret.) 
Major General Bobby Floyd, USAF (ret.) 
General John Foss, USA (ret.) 
Major General Paul Fratarangelo, USMC (ret.) 
Major General David Grange, USA (ret.) 
Lieutenant General Tom Griffin, USA (ret.) 
Lieutenant General Earl Hailston, USMC (ret.) 
Lieutenant General John Hall, USAF (ret.) 
General Alfred Hansen, USAF (ret.) 
Rear Admiral James Hinkle, USN (ret.) 
General Hal Hornburg, USAF (ret.) 
Major General James T. Jackson, USA (ret.) 
Admiral Jerome Johnson, USN (ret.) 
Rear Admiral Herb Kaler, USN (ret.) 
Vice Admiral Bernard Kauderer, USN (ret.) 
General William F. Kernan, USA (ret.) 
Major General Homer Long, USA (ret.) 
Major General Jarvis Lynch, USMC (ret.) 
General Robert Magnus, USMC (ret.) 
Lieutenant General Charles May, Jr., USAF (ret.) 
Vice Admiral Martin Mayer, USN (ret.) 
Major General James McCombs, USA (ret.) 
Lieutenant General Fred McCorkle, USMC (ret.) 
Rear Admiral W. F. Merlin, USCG (ret.) 
Rear Admiral Mark Milliken, USN (ret.) 
Rear Admiral Riley Mixson, USN (ret.) 
Major General William Moore, USA (ret.) 
Lieutenant General Carol Mutter, USMC (ret.) 
Major General Larry T. Northington, USAF (ret.) 
Lieutenant General Tad Oelstrom, USAF (ret.) 
Major General James D. Parker, USA (ret.) 
Vice Admiral J. T. Parker, USN (ret.) 
Major General Robert Patterson, USAF (ret.) 
Vice Admiral James Perkins, USN (ret.) 
Rear Admiral Brian Peterman, USCG (ret.) 
Lieutenant General Alan V. Rogers, USAF (ret.) 
Rear Admiral Richard Rybacki, USCG (ret.) 
General Crosbie Saint, USA (ret.) 
Rear Admiral Norm Saunders, USCG (ret.) 
General Lawrence Skantze, USAF (ret.) 
Major General Sid Shachnow, USA (ret.) 
Rear Admiral Jeremy Taylor, USN (ret.) 
Major General Larry Taylor, USMCR (ret.) 
Lieutenant General Lanny Trapp, USAF (ret.) 
Vice Admiral Jerry O. Tuttle, USN (ret.) 
General Louis Wagner, USA (ret.) 
Rear Admiral Thomas Wilson, USN (ret.) 
Lieutenant General Robert Winglass, USMC (ret.) 
Rear Admiral Guy Zeller, USN (ret.)
Source:
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5 février 2010 5 05 /02 /février /2010 05:04
Des helicopteres et des ballons de surveillance pour traquer les chauffards!

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